« Les juges de la nation ne sont (…) que la bouche qui prononce les paroles de la loi ».
MONTESQUIEU, De l’esprit des lois, T. I, Livre XI, chap. VI, GALLIMARD, 1995, Paris, pp. 337-338.
« Les juges de la nation ne sont (…) que la bouche qui prononce les paroles de la loi ».
MONTESQUIEU, De l’esprit des lois, T. I, Livre XI, chap. VI, GALLIMARD, 1995, Paris, pp. 337-338.
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